


Influenza aviaire : communes concernées par les zones réglementées
Cartographie des communes du département des Pyrénées-Atlantiques concernées par le zonage lié aux mesures de lutte contre l'influenza aviaire : mise à jour au 9 mars2017
Le ministre de l'agriculture de l’agroalimentaire et de la forêt a, par arrêté du 7 mars 2017, définit les zones géographiques dans lesquelles un abattage préventif est ordonné en application de l'arrêté du 4 janvier 2017 relatif aux mesures complémentaires techniques et financières pour la maîtrise de l’épizootie d’influenza aviaire due au virus H5N8 dans les départements des Landes et des Pyrénées-Atlantiques.
Cartographie des communes du département des Pyrénées-Atlantiques concernées par le zonage lié aux mesures de lutte contre l'influenza aviaire :
"Afin de surveiller les mouvements d'animaux en périphérie des zones réglementées, des mesures spécifiques ont par ailleurs été instaurées dans une zone de contrôle temporaire (ZCT) dite préventive qui couvre à ce jour le territoire de 138 communes."
Les deux principales mesures applicables pour les élevages de palmipèdes domestiques définies dans l’arrêté sont :
- la très stricte observation des règles de biosécurité permettant d’isoler les élevages des contaminations et notamment le confinement des élevages ;
- l’interdiction de tout transport de palmipèdes à l’intérieur, en provenance ou à destination de ces zones, sauf dérogations dans les conditions prévues par l’arrêté préfectoral.
Pour consulter l'arrêté préfectoral du 23 février 2017 déterminant une zone de contrôle temporaire sur le département :
Les communes concernées par les mesures d'interdiction de chasse au gibier à plume sont celles ayant été fixées par les arrêtés préfectoraux déterminant un périmètre réglementé, correspondant aux zones de protection (ZP) de 3 km et de surveillance (ZS) de 10 km autour des foyers liés à une déclaration d'infection d'influenza aviaire hautement pathogène, à savoir :
Le Préfet des Pyrénées-Atlantiques appelle à la vigilance de tous les acteurs afin de tout mettre en œuvre pour se protéger de la propagation de ce virus. Cela passe en particulier par le signalement de toute mortalité d'oiseaux sauvages auprès de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS) ou auprès de son vétérinaire.